Translate

jeudi 23 janvier 2014

Bordeaux, Nantes, Dijon, Toulon, Nice... Ils appellent ça des fiefs !


Comme au temps de la féodalité, on trouve en France des localités généralement présentées comme étant des "fiefs" pour leurs notables : maires, députés, conseillers généraux, etc., tout simplement parce qu'ils y sont installés depuis des lustres, se faisant souvent élire dès le premier tour.

Le problème est que lorsque l'on examine attentivement les résultats des municipales dans ces "fiefs", on constate que ces élus profitent surtout de l'abstentionnisme.

Biarritz

Bordeaux

Dijon

Nantes

Nice

Toulon

Tous les notables de l'UMPS risquent fort de ne pas apprécier notre démarche en vue de mobiliser précisément ces abstentionnistes. 


P.L.M. (3)


Paris - Lyon... Marseille sur Cannebière.

Il paraît que "cannebière" aurait pour origine "cannabis" !

Ah Marseille ! Son vieux port, ses calanques, son marché aux poissons, ses rascasses, ses policiers ripoux,  ses politiciens avachis, ses petits et grands parrains, Notre Dame de la Garde, Pagnol, Raimu, les quartiers nord, les guetteurs en culotte courte faisant le "chouf" pour protéger le trafic de drogue,  les réglements de compte à la Kalash... !

On a oublié quelque chose ? Oui, bien sûr : l'OM, le Stade Vélodrome, le nouveau musée et tutti quanti.

Revenons à l'essentiel. L'essentiel à Marseille ? C'est la cascade de réglements de comptes et de meurtres non élucidés (tiens, tiens, comme en Corse !) qui défraient la chronique chaque semaine ou à peu près, et un ministre de l'Intérieur aussi hâbleur qu'impuissant face au problème, et une classe politique qui ne donne pas l'impression d'avoir pris la mesure du désastre, hormis Samia Ghali. Madame Ghali veut-elle nous dire que la police est inefficace ? 

Et si l'on abordait la question par l'amont, au lieu de toujours passer par l'aval, selon une méthode chère aux politiciens ?

En amont, il y a des familles désemparées, à l'image de ces mères de familles constituées en association de mères de victimes des réglements de comptes.

Et pour bien percevoir l'origine du problème, il suffit de voir à quoi ressemblent les mères éplorées (après avoir noté que les pères sont aux abonnés absents !) des victimes de réglements de comptes :





Voilà qui est assez parlant, non ? On parie que la grande majorité des petits et grands caïds qui se massacrent à coups de fusil mitrailleur à Marseille appartiennent à la communauté maghrébine ? 

C'est la faute à l'immigration ! nous diront certains.

Mouais ! Là, nous dirons : oui et non.

Mais on en reparlera.

En attendant, il y a urgence, en raison d'une clique politique UMPS absolument incompétente : un maire totalement avachi et qui a largement dépassé la date de péremption, des élus de droite et de gauche accrochés à leur petit fief, ou à ce qu'ils prennent pour un fief.

Au fait, voyons donc à quoi ressemblent ces fameux fiefs (8 secteurs) que les pseudo-adversaires de l'UMPS vont feindre de se disputer bientôt.

Municipales 2008









À Marseille, comme ailleurs, le premier parti est bel et bien le parti des abstentionnistes. Et c'est celui-là qu'il importe de mobiliser.  


Lien


mardi 21 janvier 2014

P.L.M. (2)


Élections municipales 2008

Lyon, capitale des Gaules : neuf secteurs.

Pas besoin de longs discours : ici, comme ailleurs, le premier parti est celui des abstentionnistes.










vendredi 17 janvier 2014

P.L.M. (1)


Paris - Lyon - Méditerannée, autrement dit, Paris et ses environs - Lyon et ses environs - Marseille et ses environs...

Trois métropoles composées d'arrondissements ou de secteurs, avec un maire dans chaque secteur.

À Paris, ça nous en fait vingt, plus la mairie centrale : vingt-et-un.

"Ici, tout le monde est blanc, juif ou franc-maçon", dixit Mme M. une habitante du 5ème arrondissement de Paris, celui de Jean Tibéri, et qui nous déclarait il y a quelques années : "Moi vivante, elle ne sera jamais maire du 5ème !". Par "elle", cette dame visait la fameuse Lyne C.-S., adversaire de longue date de Jean Tibéri dans cet arrondissement. Chose curieuse, Madame M. avait un patronyme à consonance yiddish ; mais c'est pourtant cette qualité qui la rendait encore plus enragée devant une certaine main-mise de la "communauté" sur Paris : "C'est quand même dingue : avec à peine un pour cent de la population, ils seraient capables de faire élire un maire à eux dans chaque arrondissement, qu'importe la couleur politique !". Par "ils", il faut, bien entendu, entendre les membres de LA Communauté. Et de nous dresser la liste des Blo..., des Aiden..., des Lello..., des Blume... et compagnie, sans omettre la fameuse Lyne C.-S., "une parvenue, une pistonnée, qu'on a vue traîner des casseroles à Lille, qui s'est rabattue sur Paris", et patati et patata.

Mme M. aurait certainement mérité d'être rangée par un certain éditorialiste du nom d'Adler ("aigle" en allemand) dans la catégorie des traîtres à la cause, aux côtés de Ronny Braumann, par exemple.

Parce que ça existe : des Juifs allergiques à la main-mise d'organisations lobbyistes (voyez l'Aipac aux Etats-Unis, le Crif et la Licra en France) sur la vie politique.

"Et s'il n'y avait qu'eux ! renchérit Madame M. Il faut aussi se coltiner les 'maçons', et là, comme pour les autres, l'opposition droite-gauche, c'est bidon ! Parce qu'avant d'être de droite ou de gauche, un maçon est d'abord maçon, et entre eux, ils se serrent les coudes !".

Confidences recueillies de la bouche d'une vieille habitante de Paris Vème, militante de gauche (hé oui !) qui se trouvait être née de parents juifs et qui ne supportait pas l'idée qu'une autre juive, en l'occurrence Mme Lyne C.-S., puisse devenir maire du 5ème arrondissement.

En attendant, faisons un constat : on a vingt arrondissements parisiens, plus la mairie centrale, dirigés par vingt-et-un Blancs et Blanches.

Ah oui, on va nous dire : "Et Rachida Dati ?"

Rachida qui ?

Notre programme pour Paris ?

1. Pour commencer, parlons de diversité. Ce serait bien d'avoir un(e) maire asiatique dans le XIIIème, pour changer, et pourquoi pas un(e) Maghrébin(e) - ni harki ni potiche - à la Goutte d'Or, ainsi que des maires originaires des Dom-Toms ou d'Afrique noire dans les arrondissements X, XI, XIV, XIX, XX, histoire d'être "raccord" avec les équipes de France de foot, de basket, de hand...

2. Arrêter le bétonnage de Paris, mais ça vaut aussi pour la banlieue : quand à Berlin, Londres, New York, Singapour, on trouve de grands parcs et espaces verts en pleine ville (Central Park, Hyde Park, etc.), il faut sortir de Paris pour trouver un bois de... Vincennes, un bois de... Boulogne, un parc de... Sceaux ou de Saint-Cloud. On nous annonce toujours plus de constructions de logements sociaux, et là, nous disons : STOP ! La démographie française, c'est 20 % de la surface occupée par des villes, dans lesquelles s'entassent 80 % de la population, ce qui est aberrant. Et toutes ces surfaces urbaines ultra-bétonnées sont autant de zones inondables dans l'avenir, et les très vieux Parisiens ont de la mémoire !

3. Ceci découle du point précédent : compte tenu de la cherté du coût de la vie dans une mégalopole comme Paris, on voit bien que les premières victimes de la chose sont les pauvres, parmi lesquels les immigrés se taillent la part du lion. C'est quand même le monde à l'envers : des bobos aisés britanniques, néerlandais ou allemands viennent s'installer dans le Gers, le Lubéron, la Dordogne..., afin de profiter du bon air de la campagne et, dans le même temps, les villes du Nord se remplissent de paysans du Sud, dont on sait pertinemment que ni eux ni leurs enfants n'ont la moindre chance de s'adapter à la situation. Et pourtant, parce qu'il y a un énorme besoin en domestiques sous payés, on continue, sans le dire, et tout en feignant le contraire, d'organiser un exode rural massif en provenance des pays du Sud. Au risque d'en surprendre certains, nous affirmons notre ferme opposition à cette politique migratoire.

Lu sur le site boulevard_voltaire :

Enfin, dernier paramètre et non des moindres, les conséquences catastrophiques d’une immigration massive que la nation ne peut pas assimiler. Comment imaginer maintenir le niveau de notre école quand une partie non négligeable des nouveaux arrivants – enfants et parents – ne maîtrisent pas la langue de notre pays et sont parfaitement étrangers à la culture et aux règles morales qui ont fondé notre société ?

Là, nous ne sommes pas d'accord. Ce n'est pas un problème d'immigration, massive ou non, mais un problème de qualité, ou plutôt de médiocrité du niveau intellectuel des populations concernées : en France et partout ailleurs, les enfants nés de parents médecins, architectes, universitaires et d'origine africaine, turque ou pakistanaise... ont moins de problèmes scolaires que les enfants nés d'ouvriers français... de souche ! Le problème est que, depuis des décennies, l'immigration en provenance des pays du Sud est plus souvent composée de paysans illettrés que d'intellectuels et d'universitaires ! 

Dans les faits, nous préconisons, dans l'habitat social, moins de paysans en provenance du Tiers monde (y compris d'Afrique) et plus d'étudiants de toutes origines. Car le gros problème des cités-dortoirs est qu'elles sont devenues de véritables no man's lands intellectuels (pas une librairie, pas une bibliothèque, pas un lieu de culture mais des habitants trop souvent obnubilés par la consommation, des jeunes livrés à eux-mêmes et abandonnés aux bandes et aux gangs...). Le fait est que les villes de France manifestent une réelle allergie pour les étudiants - dont on sait qu'ils sont très mal logés, alors que leur présence dans l'habitat social permettrait d'encadrer efficacement les plus jeunes, donc de lutter plus efficacement contre l'échec scolaire - ce qui laisse perplexe.

Pour les municipales de 2014 à Paris, pas une seule de nos voix n'ira à l'UMPS. On a vu à quel point les deux têtes de listes de l'UMPS ont accordé leurs violons pour participer à la curée contre Dieudonné.

Dans les arrondissements de l'Est parisien, nous sommes suffisamment nombreux pour brouiller le dialogue entre les comparses et faux-adversaires de droite et de gauche. Il suffirait de convaincre les abstentionnistes ainsi que les adeptes du vote blanc ou nul.

Illustration dans trois secteurs parisiens :

Paris Xe


Paris XIIIe



Paris XXe


Vous avez compris ? que dans tous les cas de figure, le total abstentionnistes + votes blancs ou nuls constitue, et de loin, le premier parti de France ?

Maintenant, il ne reste pas beaucoup de temps, soyons honnêtes. Mais nous avons dit que nous prenions date. Et puis, il reste encore quelques semaines pour nous mettre en ordre de marche de manière à dégommer l'UMPS de quelques arrondissements parisiens.

Voilà qui devrait faire l'effet d'un coup de tonnerre dans le Landerneau !


mercredi 15 janvier 2014

Hénin-Beaumont, Tours...


Hénin-Beaumont est cette commune du Pas-de-Calais qui a défrayé la chronique en raison des turpitudes - on peut dire les choses comme ça - de son (ancien) maire socialiste convaincu de prévarication ou à peu près..., lequel a menacé de balancer ses petits camarades... Peut-être même l'a-t-il fait dans un bouquin.

Bref, on ne passe pas notre temps à avoir le nez dans les magouilles infectes des notables, socialistes ou non.

Toujours est-il que le panorama des municipales de 2008 donne ceci :


Comme on peut le voir, la situation est assez sensible. En tout cas, voilà une ville dans laquelle les chances du Front National sont plus que réelles (3600 + 290 + 6400 = 10.290, soit bien plus que les 6500 voix de la liste sortante). Autant dire que les chances de battre un représentant de l'UMPS sont loin d'être négligeables.

Et si on aidait le FN à dégommer l'UMPS d'Hénin-Beaumont ?

Il suffit de considérer la somme des abstentionnistes, des votes blancs et du vote FN, en se doutant bien que la liste sortante fera moins bien qu'il y a six ans.

Autre ville : Tours, dans l'Indre et Loire

Non mais, vous avez vu la masse des abstentionnistes, plus les bulletins blancs ou nuls ? Voilà le premier parti de France, et on laisserait cette ville à l'UMPS ?

Surtout, on ne s'abstient pas, ni au premier tour, ni au second !

Dieudonné : retour sur une tentative de lynchage sur la place publique


10 juillet 1940 : l'assemblée de Front populaire, élue en 1936, vote les pleins pouvoirs à Philippe Pétain.

« Article unique.
L’Assemblée nationale donne tout pouvoir au gouvernement de la République, sous l’autorité et la signature du maréchal Pétain, à l’effet de promulguer par un ou plusieurs actes une nouvelle constitution de l’État français. Cette constitution devra garantir les droits du Travail, de la Famille et de la Patrie.
Elle sera ratifiée par la Nation et appliquée par les Assemblées qu’elle aura créées. La présente loi constitutionnelle, délibérée et adoptée par l’Assemblée nationale, sera exécutée comme loi de l’État »
— Fait à Vichy, le 10 juillet 1940
Par le président de la République,
Albert Lebrun
Le maréchal de France, président du conseil,
Philippe Pétain.

Le Front populaire, vous savez ? Les congés payés et tutti quanti.

Et puis, la guerre, l'invasion, l'Occupation, et le régime de Vichy, la milice, les dénonciations, les corbeaux...

Pour mémoire, la "Gôche" donneuse de leçons, c'est l'implication dans le génocide rwandais, l'affaire de l'Observatoire (Mitterrand), le Rainbow Warrior (Mitterrand et Fabius contre Greenpeace, un mort), le suicide de François de Grossouvre en plein palais de l'Elysée, le sang contaminé, etc., etc.

C'est bien cette même gauche, factieuse et bonapartisée, qui est aux affaires actuellement en France, ainsi qu'on a pu le voir dans le soutien apporté à la droite dans l'agression contre la Libye en 2011 et dans la tentative d'entraîner le monde dans un nouveau bain de sang en Syrie, comme l'auraient souhaité des donneurs d'ordres visiblement basés à Tel Aviv. 

Janvier 2014 : on se serait cru de nouveau dans la France de Vichy, à voir toutes ces hyènes et tous ces corbeaux reprendre du service.

Cette fois, il s'agissait de lyncher un homme, un saltimbanque. On croyait qu'il avait maille à partir avec la Justice et que les dossiers suivaient leur cours. Il faut croire que ce n'était pas suffisant. Interdiction administrative de ses spectacles, lancement d'une campagne de presse inouïe, en tout cas comme on n'en avait jamais vue d'identique voire d'approchant depuis les années 40 : éditions spéciales dans la presse écrite, émissions spéciales dans la presse audiovisuelle, théâtre fermé et ruelle (Impasse de la Main d'Or bouclée par la police) obstruée par des cars de policiers... C'est un antisémite, hurlaient les uns, il doit de l'argent au fisc, rétorquaient les autres ; vous vous rendez compte, renchérissaient les derniers : il planque de l'argent au Cameroun ! Toutes "informations" dont on devine aisément qui les a laissé "fuiter" en direction des délateurs ! 

Discréditez, discréditez, il en restera toujours quelque chose.

Il faut croire qu'il y avait urgence !

On comprend qu'il leur ait fallu, dare-dare, monter une petite manip sous la forme d'un écran de fumée, d'une opération de diversion, parce qu'un magazine people allait sortir un scoop : Napoléon le petit pris en flagrant délit d'irresponsabilité et d'inconséquence, car l'objectif du paparrazzo aurait pu être le viseur d'un fusil à lunette !


Ci-dessus, la photo est un montage, mais elle est assez drôle, enfin, si on peut dire. 

Et voilà tout ce que la France compte comme rats, corbeaux et autres charognards se mettant au garde-à-vous sur ordre du petit "caudillo" de service. Comme au bon vieux temps des dénonciations à la milice de Pétain. C'était probablement ça le plus impressionnant. 

 Bien évidemment, nous n'étions pas là, quand les voisins dénonçaient d'autres voisins à la milice et à la Gestapo, cela dit, une petite navigation sur les moteurs de recherche permet d'en apprendre un rayon, et il faut croire que cette funeste période des années 1939-1945 garde de nombreux adeptes. 

Là, c'est un "grand" éditorialiste et intervieweur de radio-télévision.


Là, c'est un "grand" éditorialiste multicarte, directeur d'un magazine et intervenant omniprésent sur les écrans de télévision


Là, c'est encore un vieil intervenant multicarte sur les écrans de télévision.



"Les cons, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît.", réplique culte extraite des dialogues signés par Michel Audiard pour le film "Les Tontons flingueurs".

Sauf que, nous autres bougnoules de base disposons d'une arme de dissuasion massive contre les cons : le bulletin de vote.

Surtout, ne faisons pas comme l'autre CONNE, aperçue l'autre jour devant le Théâtre de la Main d'Or (celui de Dieudonné) en train de brûler sa carte d'électrice, car ce serait une colossale erreur. Sans sa carte d'électrice, cette fille ne vaut rien, n'existe pas !

Rendez-vous aux municipales, pour commencer, pour virer l'UMPS et ses larbins, à l'exemple de ceux mentionnés plus haut, du paysage politique.


Citation (lue sur un forum de discussion sur le site de l'Express) :



 - 12/01/2014 15:46

Le soufflé retombe. Maintenant la question de l'honneur de chacun se pose. Nous avons un homme à terre, brisé, humilié, condamné, trainé dans la boue dans tous les médias par les politiques et les personnalités de tous bords, et voici les combattants de la dernière heure qui viennent à leur tour cracher leur petits glaviots sur la bête immonde. Quelque soit ses crimes, je refuse qu'un homme soit ainsi traité dans mon pays. Les français ont le sens de l'honneur, et ils sauront en temps voulu se souvenir de tous ceux qui ont défilé dans le rang, à la télé, à la radio et dans les journaux, pour lancer leur petite caillasse au moment de la lapidation. En attendant le triste retour de manivelle, j'ai honte.





vendredi 10 janvier 2014

Opération 10.000. Dix mille voix pour éjecter Valls et sa clique de la mairie d'Evry



Municipales à Evry - Mars 2008


RAPPEL DES RESULTATS DU 1er TOUR 
Nombre% Inscrits% Votants
Inscrits25153
Abstentions1319452,45
Votants1195947,55
Blancs ou nuls3851,53 3,22
Exprimés1157446,01 96,78
Liste conduite parVoix% ExprimésSièges
gagnés
M. Francis DOMINGUEZ161013,913
M. Joseph NOUVELLON8817,611
M. Francis COUVIDAT9498,201
M. Manuel VALLS813470,2838
Pour mémoire, depuis mai 2007, le président de la République s'appelle Nicolas S. À peine élu, voilà qu'il braque le peuple contre lui avec ses manières de parvenu mal élevé (Fouquet's, yacht de Boloré, etc.). Arrivent les toutes premières élections du quinquenat, et là, à Evry, censé être son fief, Valls n'obtient que 8134 voix sur 25153 électeurs inscirts, soit le tiers.

Ce qui nous fait autour de 13200 abstentionnistes. Entre temps est intervenue la fameuse séquence du marché d'Evry, où l'on voit notre maire tomber le masque du racisme et réclamer "plus de blancos, de white".
Ce qui nous fait penser qu'en 2014, la liste des amis de Valls, où il devrait figurer pas loin des places 2 ou 3, fera bien moins que les 8134 voix de 2008.
Parce que, cette fois-ci, il n'y aura pas une voix de bougnoule pour voter pour ces guignols.
La solution ? Comme l'ont fait les Motivés à Toulouse : une liste autonome, mêlant Noirs, Arabes, Asiatiques et Blancs anti-UMP, sans oublier les amis de la Manif pour tous.
Surtout, pas d'abstention ; ils n'attendent que ça, que nous nous marginalisions nous-mêmes !
Et avec 10.000 suffrages, on sort en tête du premier tour, et l'on ressort en tête du second, avec soit la majorité absolue, soit une majorité relative (prime à la liste arrivée en tête), suffisante pour rafler la mairie.

Question : et si l'on n'a pas de liste autonome à présenter ? Très simple : on se prépare pour les prochaines échéances, et entre temps, on vote massivement pour la formation (hors UMPS) qui nous débarrassera de cette clique.

Imaginez un instant un(e) maire Front National à Evry en avril 2014 ! Une déflagration thermonucléaire...